MDY pour Month Day Year, la date du jour, matérialisant notre rapport à l’espace-temps.
MDY est une revue, un média transversal questionnant l’innovation à travers la mode, la philosophie, le design, la culture, l’art et la technologie.
MDY est un laboratoire, un portail entre papier et digital proposant une expérience numérique, augmentée et augmentable à l’infini via une application.
Vous serez notifiés des nouvelles explorations et possibilités à mesure de leur disponibilité.
Entre magazine et livre, cet objet édité de 272 pages sans aucune publicité classique, questionne la notion de péremption et propose de nouveaux systèmes créatifs de communication.
Préfacé par le philosophe Emanuele Coccia, ce premier opus de MDY interroge notre rapport au « Phantasm ».
MDY propose trois longues séries de mode sous la direction artistique de Pierre P. Marchal, réalisées par Fiona Torre, Kapturing et Axel Morin.
La revue traite des questions de diversité et d’inclusivité dans l’univers de la mode en allant à la rencontre de Kevin Germanier, Botter, Jenke Ahmed Tailly et l’agence de mannequin The Claw.
MDY invite les philosophes Marie Schiele, Emanuele Coccia et Xavier Pavie à questionner la notion de Phantasm à travers le mythe contemporain, la nature, et les exercices spirituels.
MDY challenge le fond et la forme des designs qui nous entourent à travers une série dystopique par Paf Atelier, et questionne la création typographique avec Peter Bil’ak, Margaux Lévèque, Bureau Brute et Julien Priez.
MDY questionne les problématiques contemporaines du Mieux, produire, vivre et être : un édito manifeste explore la notion de Collapsologie et son dépassement.
Stéphanie Chayet évoque les substances psychédéliques guérisseuses. Pascaline Potdevin décrypte l’ère de la dystopie dans les séries télévisées. Thomas Erber propose un manuel de résistance physiologique. Enfin, Vincent Edin partage son inquiétude sur l’hyperconsommation.
Considérant l’art comme une valeur transversale, MDY la diffuse grâce à une curation de Pierre P. Marchal. La couverture et les pages de gardes, commissionnées à l’artiste anglaise Gill Button, réinterprètent la fable d’Icare.
Avec un principe d’exposition parallèle, huit artistes contemporains expriment des visions complémentaires aux écrits : Christina Zimpel (peinture), Axel Morin, James Tolich, Laurent Tacco et Robin Plus (photographie), Jack Rusher (création 3D), Clovis Le Feu (illustration).
MDY questionne notre rapport à la technologie, ses bienfaits, ses limites et ses applications : Fabrice Starzinskas et notre dépendance aux solutions technologiques, Xavier Pavie et son approche de l’innovation responsable,
Fab Fungus, Entangled Others et XK Studio (trois studios de média-art) et leur célébration de la nature à travers leur pratique digitale.
Initié par Noémie Balmat,
dans une version bêta sortie début 2019,
sous le nom de Futur404, ce projet hybride
devient en 2021 Month Day Year.
Prix public : 35 €
Format : 240 x 320 mm
Pagination : 272 pages
Distribution : international,
en ligne et librairies spécialisées
Langues : Français et anglais
Première édition : 1000 copies
Bi-annuel : février et septembre
Première publication : février 2021
Cet objet édité est une partie du laboratoire
de recherche et développement du groupe
Month Day Year, collectif interdisciplinaire et
indépendant qui ambitionne d’influencer de l’intérieur
les industries culturelles et créatives, pour inspirer des
changements à l’extérieur.
MDY – le Mag/Book, s’exprime entre
un pôle éditorial, technologique et créatif.
Le pôle éditorial est co-dirigé par Noémie Balmat, conférencière engagée, consultante dans l’industrie du luxe et de la mode, et fondatrice de Month Day Year, et Caroline Hamelle, journaliste indépendante et autrice, spécialisée dans les questions liées à l’industrie de la mode.
La direction créative est assurée par Pierre P. Marchal, instigateur de @jppm.fr, moodboard à l’infini sur Instagram, et fondateur de JPPM, un studio de direction artistique et de curation développant des stratégies print et digitales dans les univers de la mode et de l’art.
Le pôle technologique est dirigé et développé par Fabrice Starzinskas, creative technologist opérant entre média art, production créative et enseignement. Il place le processus et les interdépendances au centre de sa recherche d’approches résilientes de la créativité.
Contributeurs :
Mehdi Bizien, Lisa Boostani, Gill Button, Emanuele Coccia, Andre Cueto Saavedra, Christopher Dessus, Vincent Edin, Thomas Erber, Maud Gabrielson, Simon Geringer, Yumiko Hikage, Kapturing, Lauren Kennedy Malpas, Clovis le Feu, Aurélia Liansberg, Axel Morin, Paf studio, Prof. Xavier Pavie, Robin Plus, Pascaline Potdevin, Juan Camilo Rodriguez, Jack Rusher, Dr. Marie Schiele, James Tolich, Fiona Torre, Augustin Vermot, Aurèce Vettier, Paul White
et Christina Zimpel.